Avec le géant, j’avais laissé tomber mes principes
de base.
Mes théories pleines de préjugés que je m’étais
données en entrant dans le monde du « dating ».
Des concepts super généralisant et qui ne tenaient
sur pas grand-chose d’autres que des feelings.
Genre, ça.
Ne jamais dater un gars qui ne lit pas du tout.
Ne jamais dater un gars qui n’est pas gentil avec sa
mère.
Ne jamais dater un gars qui traite son ex de folle.
Le géant.
Il avait les quatre critères.
C’est bien beau donner des chances aux coureurs.
Vouloir sortir de sa zone.
Tenter de voir au-delà de certaines idées reçues.
Mais.
Sans que ceci veuille nécessairement dire cela.
J’aurais dû bien plus m’en méfier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire