Je revois le dieu
comptable demain soir.
On s’est retexté.
Au fait, je lui envoyé
une vidéo drôle, lundi, sur les élections américaines qu’il suit avec ferveur.
Sans doute une manière
de ravoir de ses nouvelles.
Moi et les silences.
C'est pas un beau mariage disons.
Et puis, ce sentiment d’inachevé
aussi, avec lui, que je portais aussi en moi.
(extrait d’une "textosation" relativement banale)
Lui
-Je n’avais pas de tes nouvelles…où en es-tu?
Moi
-
Bah c’est flou et ça m’énerve un peu, impression d’errer aussi.
Lui
-Avec
moi?
Moi
-Flou
en général je dirais. Mais j’ai lâché prise sur mon besoin de savoir et je
laisse les choses aller comme je ne sais pas trop ce que je cherche de toute
manière!
Lui
-Tu
souhaites que l’on se revoit?
Moi
-Oui,
mais c’est comme dur de savoir ce que tu penses! mais bon je n'ai pas envie de me
questionner de toute manière. Keep it simple.
Lui
-J’apprécie
beaucoup ta compagnie. Tu es vive, allumée, sexy. Je souhaite y aller
progressivement, no hurry. Voilà ce que je pense.
Moi
-Je
ne veux pas d’un couple à tout prix sinon de toute manière je vais avoir peur.
J’ai besoin de cette liberté émotive et d’action sans autre engagement que de
passer des moments pas pires quand ils se présentent. Pour ça que je ne pousse
rien et comme je ne sais pas trop ce que je veux ultimement, je ne veux pas non
plus induire des choses.
Lui
-Je
saisi ton point de vue, tu es en exploration.
Moi
-Ne
l’est-on pas tous un peu, en exploration? Avec aussi cette dualité d’envie de
se poser qui nous habite.
Lui
-Tu
as quelque chose demain soir?
Moi
-Du
hockey mais je termine vers 18h30.
Lui
-On
se voit après?
Moi
-Oui.
Voilà.
J’ai envie.
Me semble bien ce gars. Posé, réfléchi mais pas plate.
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