La nuit dernière.
Je me suis surprise à le masser, seins nus.
Je me suis surprise à le masser, seins nus.
Je ne m’en suis même pas rendu compte.
Ou je n'ai pas vraiment fait attention.
Ou je n'ai pas vraiment fait attention.
Que j’étais seins nus.
C’est lui qui me l'a fait remarquer.
"Je suis vraiment content que tu n'aies rien mis sur toi" à lui de me dire.
J’ai souri.
C’est le premier gars à m’avoir fermement empêché de
couvrir mes seins avec mes mains.
Pas juste demandé, pas juste exprimé qu’il aimerait
voir mes seins mais que si je ne voulais pas c'était correct et qu'il respectait ma pudeur, ma sensibilité, ma fragilité ou autres commentaires vraiment adéquats du genre…
Non.
Un jour.
Pendant que j'étais en train de le chevaucher.
En couvrant mes seins de mes deux mains.
Parce qu'il faisait pleine lumière.
Parce que je ne trouve pas ça tant joli, mes seins qui se baladent.
Il l'a dit.
Fermement.
Très.
Un genre de « criss lâche tes seins ».
Suivi d'un "je veux les voir, sont beaux".
A rajouté, s'il te plait.
Ou peut-être pas.
Et.
C’est tellement de ça que j’avais besoin.
Ce fermement.
(...)
Ce fermement.
(...)
Je ne pense pas qu'il réalisait.
À ce moment là.
À ce moment là.
En disant ça, comme ça.
Qu’il m’attachait dans
son lit pour un petit bout.
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